En ce début de mois de février, entre le ciel gris, le vent, le froid, les enrhumés, les grippés, les patraques… Les rangs sont décimés !
On a même fini par se demander si on allait vraiment fêter la chandeleur…

Alors, on a pris sur nous. Et on a décidé de ne pas nous laisser aller. On a résisté. Et vous savez quoi ? On a bien fait. Parce qu’on doit l’avouer… On s’est régalé.

C’est vrai, c’était déjà assez triste comme ça. On n’allait pas en rajouter en se privant.

Et en plus, ça aurait été dommage, parce qu’elles étaient excellentes, nos crêpes. Comme chaque année d’ailleurs. Légères, dorées, un véritable délice.

Confiture, beurre de cacahouète, pâtes à tartiner, sucre, citron… Tout le monde a testé, goûté et goûté encore pour être sûr de celle qu’il préférait.

C’est vrai, que d’une année sur l’autre, on oublie. Ce n’est pas de notre faute. Alors, on fait l’effort de tout recommencer.

Voyons, on les préfère nature, ou avec un peu de sucre, arrosée de jus de citron ou copieusement fourrée de confiture ? Et la confiture, justement, quel est le mariage le plus heureux pour accompagner les crêpes ? Fraises ou d’abricot ?

Quant aux pâtes à tartiner, avant, on ne se posait pas de question, vu qu’il n’en existait qu’une. Mais depuis qu’on sait qu’on déforeste la planète pour se gaver d’huile de palme… Il reste tout de même des inconditionnels.

Les autres ont le choix d’une gamme qui s’élargit chaque année. Même ici, on a les nôtres grâce aux noisettes de Cervione. Et elles sont toutes délicieuses ! Ce qui nous sauve, c’est leur prix. On ne risque pas d’en abuser… Alors, on privilégie la qualité à la quantité. Délicatement étalées sur les crêpes, c’est du plus bel effet. Essayer, vous serez conquis vous aussi et pas uniquement sur les crêpes.

Autre point important, nos pâtes à tartiner locales ont une empreinte carbone très basse. Des producteurs à nos estomacs, il n’y a pas une grande distance !
Voilà une bonne raison de plus de se régaler.