L'UNAFAM qui apporte une aide précieuse aux familles qui ont un proche malade, est une association bénéficiant d'un immense réseau, d'un relationnel ancré jusqu'au plus haut niveau et d'une solide logistique. Ces atouts lui permettent de bénéficier d'une organisation d'événements "clé en main" avec des intervenants de qualité.
Cette année, pour nous parler des ados, l'UNAFAM avait donc invité le Professeur Jeammet. LE spécialiste des ados s'il en est ! Professeur émérite de psychiatrie, pédo-psychiatre, psychanalyste, créateur d’un Diplôme Universitaire, «Adolescents difficiles, approche psychopathologique et éducative»...

Cette année encore, nous avons déambulé de salle en salle, comme dans un labyrinthe. On a monté les marches. On les a redescendues. Puis remontées de nouveau pour mieux les redescendre.
Non, nous n'étions pas à Cannes. Ce n'est pas encore l'époque du festival. Les stars, starlettes et autres festivaliers attendent les beaux jours pour se montrer.
Nous, nous étions bien à Bastia. Au centre culturel "Una Volta". On s'est approché.  Le nez collé contre les planches. Puis on a reculé. Pour mieux apprécier.

Pour la SISM, ISATIS avait mobilisé ses troupes. Tout le monde sur le pont ! Bastia, Ajaccio, Porto-Vecchio...
Et au bout du compte, une belle petite exposition qui a trouvé un écrin à sa taille dans les locaux du CAUE, mis à disposition pour l'occasion, par la Mairie de Bastia qui offrait également le buffet.

Jeudi, nous avons fait la révolution. Où ça ? Ben chez nos amis d'Ava Basta " A Tramendera". Enfin, la révolution, c'est peut être un peu fort. Disons pour être plus raisonnables que nous avons refait le monde. Et oui, on en est encore là.. Et vous savez quoi ? Ça fait un bien fou !
Nous avons rêvé ensemble d'un monde dans lequel hommes et femmes seraient égaux ! Ben, quoi, si on n'a même plus le droit de rêver...

Mardi, nous sommes partis en voyage sans même nous en rendre compte. On s'est laissés embarqués par nos amis d'Ava Basta "A Tramendera".
Au programme : un magnifique documentaire et un atelier henné, le tout arrosé de thé à la menthe accompagné de petites douceurs toujours aussi délicieuses...

Psiiiit, approchez ! Plus près, comme ça, vous n'aurez pas besoin de tendre l'oreille. On va vous dire quelque chose au creux de l'oreille.
C'est l'IREPS qui nous a mis la puce à l'oreille.  "Jeudi à 18h30, réunion au lycée Giocante".
Ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd.
On y a entendu plein de choses intéressantes...

 

 

Bien sûr, il y avait des stands intéressants dans ce salon qui regroupait pêle-mêle, vrais professionnels, vrais charlatans : pseudo-peutes, pates et logues en tous genres, vrais artisans et vrais commerciaux-commerçants.

Comme vous le savez, tout nous intéresse. Alors quand on a vu que l'AFC organisait une nouvelle conférence, on s'est précipité.
Le titre nous a interpellé : vos déchets valent de l'or !
L'intervenant, venu tout spécialement d'Alsace, élu et ingénieur agronome de son état, aurait dû nous fasciner. D'autant que nous étions déjà tout acquis à sa cause.
Que nenni ! Point d'alchimiste. Point de pierre philosophale. Point d'or. Décidément déçus, nous sommes repartis penauds. Ce n'était vraiment pas la panacée. Hélas !

 


Ainsi va la vie... Aussi insupportables qu'aient pu être la tuerie de Charlie Hebdo et celle de l'Hyper Cacher, nous devons continuer à avancer. Nous avons vécu ces évènements comme tout le monde. Abasourdis, anéantis, dans l'attente et l'angoisse.

 

Vendredi en fin d'après-midi, nous avions un rendez-vous très attendu.
La salle polyvalente des quartiers sud était noir de monde. Il faut dire que le titre de la conférence représentait tout un programme à lui-même :
"Se changer soi-même pour changer le monde".

Samedi après-midi, nous sommes partis à l'assaut de la rue du Bastion. Nous allions à la galerie du même nom. Une toute petite galerie. Pleine de belle choses. Nous y avons même retrouvé quelques œuvres de Chauder.
La maîtresse des lieux, douce et chaleureuse, organise une fois par mois un atelier d'écriture.

Ces quelques jours, impossible d'apercevoir un petit coin de ciel bleu. Pas le moindre rayon de soleil. On dirait qu'il a carrément disparu.
Évidemment, ça nous fait tout drôle.

Pourtant, s'il y en a qui sont habitués au gris, c'est bien nous. On en connaît toutes les nuances. Et on peut vous assurer qu'il y en a bien plus de 50 ! Et hélas, parfois, on a même à connaître le noir. Toutes les nuances de noir. Oui, il existe, là aussi, des nuances.

Ce 25 novembre, c'était la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes.
Francine Grilli, la Directrice du CIDFF et Dominique Nadaud, la Délégué aux droits des femmes et à l'égalité, ont organisé une conférence à l'occasion de cette journée.

Madame Di Giorgio, Psychologue Clinicienne et Psychanalyste a apporté son regard de professionnelle sur le thème de cette journée "Supporter le pire... Par amour"...

 

 

Cette année encore, le Docteur Sisco nous a invité aux 2 journées de conférences qu'il organise tous les ans, avec son association " Corse Équilibre et Santé Mentale". 

La première était consacrée aux addictions liées à l'alcool. La seconde avait pour thème le travail...

Dans le cadre du festival d'Arte Mare, invités par nos amis du Café Social d'Ava Basta, nous avons assisté à la projection du film "Certifié halal" de Mahmoud Zemmouri.

Kenza, jeune française d'origine algérienne, défend avec ferveur les droits des femmes maghrébines. Vue à la TV par toute la cité, elle devient le déshonneur de sa famille. Son frère, sujet de moqueries de la part de ses amis, opte pour une solution radicale...

Bis répétita au Café Social d'Ava Basta, pour cette seconde projection dans le cadre du festival "Arte Mare".

"Wajma, une fiancée afghane", réalisé en 2013 par Barmak Akram, est un drame sur les violences faites aux femmes.

C'est un film fort et bouleversant. Tourné avec les moyens du bord. Pourtant, le réalisateur réussit le pari d'éviter les clichés et nous montre les réalités d'une société afghane meurtrie par des traditions archaïques et par la guerre.